Palatul Culturii: Deschis Miercuri – Duminică 10-17 | Închis Luni, Marți, Sărbători legale | Închis acum
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Acest rezultat, fericit pentru România, a fost urmarea unei serii de evenimente foarte dificile pentru români. După adoptarea unei poziții de neutralitate timp de doi ani, România a cărei armată era estimată la 600.000 de oameni, a intrat în conflict în 1916, de partea Antantei, țara fiind rapid decimată de lupte, iar guvernul forțat să se retragă la Iași, în timp ce capitala era ocupată de forțele inamice.
În acest context geopolitic complicat, oamenii au continuat să se manifeste, inclusiv din punct de vedere artistic, în afara câmpului de luptă. Dar nu aveau cum să ignore conflagrația care, în diferite grade și prin diferite forme de manifestare, s-a materializat și în artă.
Acesta este modul în care explicăm – sau nu – faptul că unii artiști duceau propriul război. Tristan Tzara organizează primul spectacol Dada pe 14 iulie 1916, la Cabaret Voltaire din Zürich, cu intenția de a scutura, în profunzime, practicile artistice ale timpului.
Complexul Muzeal Național „Moldova” din Iași, România și Primăria Municipiului Iași, cu sprijinul Academiei Române – Filiala Iași, al Universitatii „Alexandru Ioan Cuza” din Iași și al Universității Naționale de Arte „George Enescu” din Iași, invită cercetători interesați de tema propusă din domenii precum literatura, istoria, filosofia, sociologia etc. să transmită propunerile de lucrări până la 15 septembrie 2018. Rezumatele formulate în engleză și franceză/ germană/ spaniolă/ italiană vor conține aproximativ 300 de cuvinte și vor fi trimise la adresa coralia.costas@palatulculturii.ro
Comunicările vor fi susținute în limba engleză. Organizatorii vor suporta costurile de participare, în limita fondurilor disponibile.
”La Première Guerre mondiale, par son amplitude et par ses effets, a changé le visage de l’Europe. Le sort de plusieurs pays a été radicalement modifié à la suite des événements tumultueux constituant la conflagration. Pour la Roumanie, la fin de la Première Guerre mondiale a constitué le moment de l’unification nationale, résultat des luttes assidues pendant quatre années et des efforts et sacrifices séculaires que les roumains ont faits dans toutes les régions historiquement habitées par eux.”
Le 27 mars 1918, le Conseil d’État de la Bessarabie (aujourd’hui la République de la Moldavie) votait l’union avec le pays mère, la Roumanie, avec l’espoir que ce sera « pour l’éternité ». Le Roi Ferdinand 1er de la Roumanie a salué cette décision avec les mots : «Vive l’enfant le plus jeune et peut-être aussi le plus fort, de la Grande Roumanie!» Par la suite, la décision du Congrès de la Bucovine du 15 novembre 1918 proclame à son tour l’union avec le pays mère, pour que la proclamation de l’union de la Transylvanie, du Banat, de la Crișana et du Maramureș ait lieu le 1er décembre 1918 à Alba-Iulia, date qui est restée dans la conscience nationale comme le plus important repère de l’histoire des Roumains. Pourtant l’intégration effective du Banat a été décalée de plusieurs mois, le 3 août 1919 étant le moment où les Roumains sont officiellement reconnus comme chez eux dans ce territoire. Toutes ces proclamations des structures nationales et régionales ont été reconnues ultérieurement par le Traité de Versailles.
Ce résultat, heureux pour la Roumanie, a été la suite d’une série d’événements très difficiles pour les Roumains. Après avoir adopté une position de neutralité pendant deux ans, la Roumanie dont l’armée était estimée à 600.000 hommes, est entrée dans le conflit en 1916, du côté de l’Entente, le pays étant vite décimé par les luttes, et le gouvernement forcé à se retirer à Iași, alors que la capitale était occupée par les forces ennemies.
Dans ce compliqué contexte géopolitique, l’homme a continué à se manifester, y compris artistiquement, en dehors du champ de bataille. Mais il n’aurait pas su ignorer la conflagration qui, à divers degrés et prenant diverses formes de manifestations, s’est matérialisé dans les arts aussi.
C’est ainsi qu’on s’explique – ou non – le fait que certains artistes menaient leur propre guerre. Tristan Tzara organise le premier spectacle Dada le 14 juillet 1916, au Cabaret Voltaire de Zürich, avec l’intention de secouer en profondeur les pratiques artistiques de l’époque.
Le Complexe National de Musées « Moldova » de Iași, Roumanie et la Mairie du Municipe de Iași, avec le support de l’Académie Roumaine – Filiale de Iași, de l’Université « Alexandru Ioan Cuza » de Iași et de l’Université Nationale d’Arts «George Enescu» de Iași, invitent les chercheurs intéressés par le thème proposé et provenant des domaines tels la littérature, l’histoire, la philosophie, la sociologie etc. à transmettre les propositions de communications jusqu’au 15 septembre 2018. Les résumés, formulés en anglais et en français/allemand/espagnol/italien, contiendront environ 300 mots et seront envoyés à l’adresse coralia.costas@palatulculturii.ro
Les communications seront soutenues en anglais. Les organisateurs prendront en charge les coûts de participation.